Le scandale Hunter Biden est devenu le symbole ultime d’une élite politique américaine qui semble fonctionner au-dessus des lois. Sous le vernis de la justice et des institutions, les révélations accablantes issues du célèbre « laptop from hell » et des enquêtes alternatives exposent un système de corruption systémique impliquant des figures politiques, des agences fédérales et des puissances étrangères. Ce qui est particulièrement choquant, c’est le rôle actif de l’administration Biden et des institutions comme le FBI pour étouffer ces affaires.
Les révélations explosives du « Laptop from Hell »
En 2020, le New York Post a révélé l’existence d’un ordinateur portable abandonné par Hunter Biden. Ce dernier contenait des preuves accablantes : courriels, vidéos sordides, et données financières liant Hunter Biden à des affaires douteuses en Ukraine et en Chine. La révélation la plus marquante ? Un courriel de 2015 dans lequel un cadre de Burisma, une société énergétique ukrainienne, remerciait Hunter pour une rencontre avec son père, alors vice-président.
Ces informations, confirmées par d’anciens partenaires d’affaires comme Tony Bobulinski, montrent que Joe Biden, contrairement à ses dénégations publiques, était bien au courant des activités lucratives de son fils. Pire encore, ces affaires impliquent des millions de dollars venant de puissances étrangères, notamment la Chine, via des entreprises comme CEFC China Energy.
« Le niveau de corruption révélé ici est sans aucun précédent, » a déclaré Tucker Carlson. Joe Rogan a lui-même qualifié ces révélations de « preuves que la classe politique se croit totalement à l’abris des conséquences de ses actes. »
Le rôle complice du FBI et des médias de gauche
L’affaire du laptop aurait pu faire exploser la carrière politique de Joe Biden avant l’élection de 2020. Mais au lieu de cela, elle a été étouffée par une coalition de médias mainstream et d’agences gouvernementales. Le FBI, qui détenait le laptop depuis décembre 2019, n’a pris aucune mesure pour enquêter sérieusement. À la place, l’agence a discrètement prévenu les réseaux sociaux, comme Twitter (avant son rachat par Elon Musk), de se méfier d’une « possible campagne de désinformation russe. »
Les Twitter Files, dévoilés en 2022, ont confirmé que des agents fédéraux ont travaillé main dans la main avec des plate-formes numériques pour censurer les articles sur le laptop avant les élections. Pendant ce temps, des figures médiatiques comme Rachel Maddow de MSNBC et Anderson Cooper de CNN minimisaient l’affaire ou la discréditaient.

Elon Musk, dans une interview sur X Spaces, a qualifié cette coordination de « collusion flagrante entre Big Tech et l’État pour manipuler l’opinion publique. »
Ukraine, Chine, pots-de-vin : les affaires étrangères de Hunter
Le scandale ne s’arrête pas à l’Ukraine. Hunter Biden a également tissé des liens financiers avec des entités chinoises proches du Parti communiste chinois (PCC). Des documents montrent qu’il a reçu des paiements de plusieurs millions de dollars de CEFC, une société énergétique affiliée au régime chinois. Certains e-mails évoquent même une part destinée à « The Big Guy », un surnom que Tony Bobulinski a confirmé désigner Joe Biden.
Glenn Greenwald, journaliste indépendant, a écrit : « Les liens de Hunter Biden avec des entreprises étrangères ne sont pas juste un scandale familial – c’est une menace pour la sécurité nationale. »
Une justice à deux vitesses
Alors que le FBI et le DOJ (Department of Justice) ont mobilisé toutes leurs ressources pour enquêter sur Donald Trump et ses alliés, les crimes présumés de Hunter Biden, allant de la fraude fiscale à la possession illégale d’armes, ont été traités avec une incroyable légèreté. La dernière insulte à la justice ? Joe Biden accordant une grâce présidentielle complète à son fils, couvrant tous les crimes passés, présents et futurs.
Jesse Watters de Fox News : « Si Trump avait fait ne serait-ce que 10 % de ce que Hunter Biden a fait, la gauche serait en train de brûler Washington. »
Le silence assourdissant des médias en France et ailleurs
En France, les médias traditionnels ont largement ignoré ou minimisé l’affaire Hunter Biden. Des journaux comme Le Monde et Libération ont souvent relayé la ligne des médias américains dominants, qualifiant les révélations de « désinformation russe ». Cette attitude contraste avec leur couverture agressive des accusations visant Donald Trump ou d’autres figures de droite.
Même à l’échelle internationale, la grâce présidentielle de Joe Biden a été présentée comme une mesure légitime plutôt qu’une atteinte flagrante à l’intégrité des institutions. Cela reflète une complicité tacite des élites médiatiques globales, qui préfèrent protéger leurs intérêts idéologiques plutôt que de chercher la vérité.
« Les grands médias français n’ont pas fait leur travail, » a affirmé Valeurs Actuelles.
Jeffrey Epstein et les connexions sombres
Un autre aspect sinistre de cette affaire est le rôle potentiel de Hunter Biden dans des cercles encore plus troubles. Des documents récemment déclassifiés sur Jeffrey Epstein montrent des liens entre certaines élites politiques et le financier déchu. Bien qu’aucune preuve directe ne lie Hunter à Epstein, la nature débridée de ses activités personnelles soulève des questions.
Jack Posobiec, journaliste sur X, a déclaré : « Les connexions de la famille Biden avec des figures douteuses comme Epstein montrent à quel point l’élite américaine est corrompue jusqu’à la moelle. »
Conclusion : L’élite américaine à visage découvert
L’affaire Hunter Biden n’est pas simplement un scandale familial – c’est un miroir de la corruption qui gangrène l’élite politique américaine. Pendant que des citoyens ordinaires sont emprisonnés pour des délits mineurs, les Bidens jouissent d’une impunité totale, protégés par des institutions censées défendre la justice.
Il est urgent que les citoyens, indépendamment de leur camp politique, exigent des enquêtes transparentes et des réformes pour mettre fin à cette justice à deux vitesses. Car si l’Amérique est gouvernée par des élites corrompues, c’est la démocratie elle-même qui est en péril.